13ème jour, Joal "Je me rappelle les signares à l'ombre verte des vérandas Les signares aux yeux surréels comme un clair de lune sur la grève. Je me rappelle des fastes du Couchant" Léopold Sédar Senghor En allant au sud de Dakar, on rejoint la côte touristique. C'est à Joal, terre natale de Léopold Sédar Senghor que nous nous arrêtonsB
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Revenue d'Annecy le lendemain de Noël, je traque la lumière de Paris. Comme le froid est vif, je ne m'aventure pas loin.De la place d'Italie, je vais vers le quartier de la butte aux cailles. Des petites rues tranquilles La poétique place Verlaine Soleil d'hiver et ciel bleu Des graffitis qui évoquent l'été, la plage... Les immeubles du 13èm
3ème jour, Yene (40 kilomètres de Dakar) C'est dimanche, la route est fluide. Un seul axe pour sortir de Dakar. 1H30 pour parcourir 40 kilomètres. Tout de même ! Le site a changé, les plantes ont grandi, les arbres ont envahi les murs et le portail Un vent de sable s'abat sur le paysage Puis la pluie drue qui fraîchit l'atmosphère Le lac, ex
Ces derniers jours, il a fait si froid qu'il n'y avait pas d'autre choix que de fréquenter les expositions.L'ennui c'est que beaucoup ont la même idée que vous. Cela donne des attentes interminables devant les temples de la culture. Le plus dur a été d'entrer à l'Hôtel de Ville pour voir l'exposition consacrée à Jacques Prévert, Paris la
Pour finir et parce que le soleil était enfin revenu, je suis allée à Honfleur. D'autres avaient eu la même idée ! Le port de Honfleur Comment échapper aux clichés immuables ?
Que faire à la mi-juillet à Paris alors que l'on rêve d'autres horizons ? Des balades, des expositions, des explorations... Le coeur est ailleurs mais allons-y !!Une visite à la Maison de la photographie Les gens se pressent... le programme est alléchant ! Tiens, le vent s'est levé Je ne m'attarde pas, je continue ma route Je m'arrête un ins
Habiter une grande ville, c'est accepter l'idée selon laquelle l'horizon n'existe pas. Alors on s'invente des perspectives Des images Des points de fuite Car le regard est écrasé, emmuré Bétonné Le ciel est précieux, comme une denrée rare On peut grimper dans les étages, la cité envahit nos esprits On traque la lumière, elle reflète sur
ça y est, le soleil est chaud et l'air est doux. L'hiver a été long, très long, inquiétant même. Neige, brouillard, froid et temps de crise. Pas de quoi se réjouir ! Alors, en ce dimanche de mars, je ne résiste pas, je pars flâner...Direction Le Luxembourg, enfin le Jardin du même nom !Bonne surprise : sur les grilles extérieures, il y a
Voilà il suffit de grimper un escalier et le décor change J'ai regardé le boulevard Diderot de haut ! Et la circulation aussi ! Comme son nom l'indique, c'est une coulée verte... Où l'on peut flâner Les immeubles semblent prêts à vaciller D'autres, au calme, prennent le soleil Un petit air de Provence, non ? De paradis même ! Certains crâ