Les satyres, natures,s'attirent dans la voiture,et se tirent et saturentl'ossature de la tire, de rires et de luxure, et ça tourne, et ça dure,sous saturne et venus,dans l'urne d'uranus. la lune bat la cadense,de ce bal décadent,qui transpire le cuir,et la chaleur intense de la nuit délétère,qui grise comme de l'éther,et noircit des cahiers,