Les sillons ridés de l'attente Déversent sur ma langue Des épines aigrelettes Et sur mes yeux Le livre du temps S'effeuille de chagrin Armelle

Il y’a des jours comme ça Où l’écho désinhibé du matin Renvoi à mes illusions déshumanisées Les bruits ironiques d’un espoir concassé La table porte ma main Ma main porte ma tête, Et dans le creux de mes yeux Les lignes sinueuses de la vie Reflètent l’encre inanimée D’une peinture inachevée Il y'a des jours comme ça Où la t

Il est des M ots qui parlent plus que d'autres Qui f O uillent les tréfonds Les allan T s de notre âme De si belle S façons. ........................................................................ Merci de laisser vos mots sur ma page et n'hésitz pas à Recommender si vous aimez bien ............................................................

150 fois j’écris ton nom Sur les pages roses de mes caprices 150 fois je fais des psaumes Sur des bouts de feuilles complices Ma fierté épandue sur des miettes de pages Sursois au goût risible d’un probable mirage Mon cerveau clos dans une ignorance savante Sonne les cloches d’une issue affligeante J’ai accroché mes bras sur le bord du

Hier, la nuit s’est couchée sur l’oreiller de mes jouissances Sa course a fait un arrêt Sous mon taudis d’espérance Volant un peu de temps au temps Et son silence à la mer Pour voir s’accorder nos corps Vibrer à l’unisson de nos présences Deux corps s’enlacent en une symphonie harmonieuse Pour faire chanter les démons des cieux E

Je ravale le goût cendré de mes larmes Me refusant de voir de l’intérieur de mon âme Les béquilles désarticulées de mon corps abyssé Noyé dans l’ivresse d’un plaisir décharné J’essaie de ranimer mon esprit plus que flasque Enseveli dans les ruelles de mes idées fantasques J’astique sans grand soin mes espoirs étriqués Et s

Debout sur le bidet Le doigt dans ma bouche Du plus profond de ma gorge Je chatouille mes amygdales Le haut le coeur me monte à la tête Les paroles avariées dégoulinent de mes pores et... des égouts de mes tripes Le plaisir de dégueuler ma parole donnée. Gtal

Les sillons ridés de l'attente Déversent sur ma langue Des épines aigrelettes Et sur mes yeux Le livre du temps S'effeuille de chagrin Gtal

Tu mâchais, mâchais, mâchais… et plus tu mâchais, plus je te détestais. Tu étais là, devant moi, mais je ne te voyais déjà plus. Tu étais mort. Mort dans mon cœur, mort dans ma vie, mais toujours présent dans mes pensées, car en te regardant manger, je me demandais ce qui serait advenu si tout avait été différent. C'est vrai que t

J'irai cueillir Le lilas de l'espoir Panser mes plaies Au détour du regret Au soir Sous le verni de ma peine Les fleurs du crépuscule Me mangent dans la main Gtal