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écrits du sous-sol 地階から
Confiné dans mon sous-sol depuis mai 2014, j'ai une pensée pour tous les novices du confinement! Mais comme j'ai dit souvent, tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre...
Henri Dilberman
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709
Depuis :
06/05/2014
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Par tous les arbres que l'hiver dépouille, et que les oiseaux ont fui, comme dans la chanson et en quelle langue cette chanson, ma mère, mamelochen, et qui me la chantait? que me disais-tu que je n'entendais point? et me parlais-tu? peut-être à un autre que moi, peut-être une autre une autre qui était en moi, une sœur plus grande que moi, se
Poème sans muguet, poème du mois de mai, du joli mois de mai poème du moi de mai, du joli mois de mai, sans fruits sans fleurs et sans muguet cueillir des brins de mots, quelques brins de mots poussés d'un être silencieux et qui tintent ainsi que des clochettes dans l'air frais d'un pieux matin un matin pieux et herbeux, ô clarines des prés
Leibniz se représentait l'hecceité comme la définition de l'individu, à savoir une conjonction, une suite infinie de caractères, sur un modèle quasi-botanique. x est ceci 1 et cela 2 et encore ça 3... à l'infini ! on dira peut-être que, par définition, tout acte symbolique constitue une série de symboles linéaire de ce genre, mais c'est
Assis à une table de bois blanc, de bois cru, il composait un livre. il le laissera nu, point d'enluminures: c'est le livre triste de l'exil. il ira sur ses pieds jusqu'à la ville, la ville amie, la ville d'oubli. et lui, et lui, il est plein de souvenirs. ovide! ce livre sera ma mémoire, dit-il. et il veut dire: vous souvenez-vous de moi, ô mo
J'ai été à la fin de ma prépa un jeune idiot, sorti de l'abrutissement infernal du concours, à la recherche d'un monde à habiter, et qui a pris une volée de jeunes étourneaux, prêts à s'envoler dans toutes les directions, comme dans la chanson, pour une société stable d'amis. on se réunit deux ou trois fois chez une camarade et voilà
Ethique de l’enseignant les choses peuvent sembler simples, enseigner n'est pas endoctriner, éduquer ne consiste pas à exercer une emprise sur les enfants dans la perspective de notre pouvoir, ou encore d'une satisfaction narcissique. reste à savoir avec olivier reboul où passe la frontière entre l'enseignement et l'endoctrinement, l'éducat
J'ai cru que l'écriture de romans, pour moi seul, me délasserait de la morosité de ma vie, de ses tâches sérieuses et de ses tracas quotidiens. seulement voilà : j'écris que je le veuille ou non, moi qui suis bon, le mal en moi, le mal subi ou le mal enfoui en moi, mon double médiocre comme un rêve poisseux, rien de diabolique, ou bien c'e
Humboldt : nom propre et racine. nouvelle version avec vygotski
Humboldt: assimilait la racine à l'individu et le mot au genre. cela m'a arrêté quand je rédigeais ma thèse, je l'avoue ! car malgré les apparences, sinon une maison,, du moins "maison" (ou plutôt ev en turc) n'est pas plus un individu que "maisonnée" ! il y a des maisons, evler. ou bien la racine désigne t-elle mille individus mais signif
D'une erreur en phénoménologie. nouvelle version avec vygotski
Certains opposent comme husserl le monde humain, et sa vérité, à la réalité connue par la science, étrangère à la vérité ordinaire, au monde commun du common sense. opposer réalité et vérité, c'est faire précisément violence au langage ordinaire, dont on fait pourtant un dieu. et aux lumières, à leur esprit de progrès. de l'une
La paresse néfaste est mon ennemie, pourquoi n'ai-je rien écrit ? souvent mes rêves vagabonds semblent plus vrais que les douloureux élixirs du souvenir, ah quand goutteras-tu, vieil alambic de la mémoire, quand percolerez-vous enfin toutes liqueurs de mes amours mortes? il y avait cette cavale sinistre, comme vive mais pleine de son et de pou