Toi qui étais la plus belle à mon cœur,d'un choc, j'ai pu apercevoir ta laideur. pourtant, tu continues à luireainsi, dans mes souvenirs. les flétrissures indignes qui me hantentsont dignes des poèmes d'un dante. que creuse bientôt la mort ton tombeau :j'irais cracher sur ta jolie peau ! libérée de toi, non. jamaisle repos ne connaitrais !