La médina de Celou

"Les Forains" Paroles et musique de Léo Ferré, chanson reprise en 2007 par Gianmaria Testa

Lu Jianjun est né en 1960 en Chine continentale dans la ville de Hangzhou, dans la province du Zhejiang. Dès son plus jeune âge, il a fait preuve d'une étonnante capacité à dessiner et à peindre. Cela lui a permis d'obtenir un diplôme à l'Académie centrale des Beaux-Arts et, enfin, un poste de professeur à l'Académie de peinture de Shan

"...Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses Adieu la vie adieu la lumière et le vent Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses Quand tout sera fini plus tard en Erivan Un grand soleil d'hiver éclaire la colline Que la nature est belle et que le coeur me fend La justice viendra sur nos pas

"Maintenant j'écris des oiseaux. Je ne les vois pas venir, je ne les choisis pas, d'un coup ils sont là, ils sont ça une bande de mots se posant l'un après l'autre sur les fils de la page grincement, picorage, pluie d'ailes et moi sans pain à leur donner, seulement en les laissant venir. Peut-être c'est un arbre ou peut-être l'amour. " Julio

Un grand merci à mon ami Carlos Matos, qui m'a donné les "clés" de compréhension des paroles de cette chanson du disque "Eu vou ser como a toupeira" (1972) : Ourga, étant la capitale de la Mongolie (Oulan-Bator depuis 1924), il s'agit d'une chanson composée paroles et musique par Zeca, pour la pièce de Bertolt Brecht "L'exception et la règl

Huile sur toile Léonore Fini "Infância Sonhos enormes como cedros que é preciso trazer de longe aos ombros para achar no inverno da memória este rumor de lume : o teu perfume, lenha da melancolia." Carlos de Oliveira "Infância" Carlos de Oliveira

Le poème chanté par Paco est de José Agustín Goytisolo illustré par des photos de Katia Chausheva. El aire de los chopos

Zeca Afonso photographié par Eduardo Gageiro au "Coliseu dos Recreios" le 29 mars 1974 Le 29 mars 1974, moins d'un mois avant la chute de la dictature portugaise, au Coliseu dos Recreios, apothéose au son de "Grândola Vila Morena", un épisode qui a peut-être été décisif pour le le rôle principal que la chanson aurait dans les années suiva

Dans la nuit du 26 août 1950, dans une chambre d'hôtel, Cesare Pavese finit son voyage terrestre en laissant ce message d'adieu (photo) "je demande pardon à tous, et à tous je pardonne... ça va ? et ne faites pas trop de commérages..." Verra la morte