Pierre kobel la télé, les médias ne cessent de nous vendre la restauration de notre-dame à quelques jours de la réouverture de la cathédrale au public. j’ai à plusieurs reprises évoqué dans mes chroniques les attaches familiales et personnelles que j’ai avec ce monument. à chaque fois que ces mésaventures et leurs suites plus heureus

Mireille podchlebnik depuis quelque temps, je fabrique des arbres en métal. une idée venue dans la poursuite du travail réalisé avec mon amie sophie lors de notre exposition sur le thème de l’exil à sanary-sur-mer en 2018 et dans l’espoir peut-être d’une autre présentation sur ce même thème afin que la vie transcende la mort… avec

Alexandra borsari depuis le début, cependant, une interrogation revenait en boucle : comment me libérer du pétrole (du carburant essentiellement) ? j’ai pensé à un tuk-tuk solaire, à un pousse-pousse pour y mettre mes vieux animaux et marcher, à un vélo… un incident a fini de me décider à accélérer la transition : j’ai été menac

Claire c. un texte ancien dont je me suis souvenu en lisant celui de mireille, sur ses arbres de métal budapest, la plus grande synagogue du monde après celle de new york. la plus laide aussi, surchargée de dorures, une « cathédrale de tentative d’intégration » : de forme rectangulaire, une coupole et une chaire de chaque côté, un orgue,

Anne-marie didier kleine vu à sa sortie en 1975 et regardé ce soir. pas étonnant qu’un rédacteur du figaro l’ait trouvé « assommant », une femme dans sa maison à l’adresse indiquée « qui ne fait rien » peut-elle intéresser un homme qui travaille, lui, et fait bouger le monde ? d’ailleurs, est-il allé au bout des trois heures et

Elizabeth l.c. édition de notre-dame de paris de 1859 malgré son aspect opportuniste, il m’a semblé que c’était finalement une bonne idée de consacrer l’émission du 4 décembre de « la grande librairie » à la résurrection/ restauration/ réouverture de notre-dame de paris. d’abord parce que, bien que mécréante, j’aime cette ca

Alexandra borsari depuis avril 2017, je n’habite plus dans une maison fixe. vivre de manière plus mobile a transformé ma relation à l’habitat, mais aussi au temps. je ne peux plus entrer dans un lieu de vie sédentaire sans le trouver trop grand et trop coûteux à tous les niveaux : temps d’entretien, temps de travail rémunéré nécessa

Anne-claire lomellini-dereclenne il faisait froid, blanc-brouillard-pas-le-moral. mais l’inscription avait été faite deux mois à l’avance et si les motivations qui me poussent à m’entraîner deux à trois fois par semaine ne sont pas suivies d’effet, tout cela n’aurait plus aucun sens. alors, malgré la fatigue de la semaine accumulé

Bernard m. sinistre s , ces journées de novembre. oups, en vrai, nous sommes déjà en décembre ! comme le temps passe. il semble filer de plus en plus vite… ciel bouché. petite pluie fine et froide. il est cinq heures de l’après-midi et déjà le jour baisse. il faut allumer les lampes… j’ai à peine mis le nez dehors aujourd’hui, ju

Catherine bierling une fois par an, au moins, lorsque je suis en cévennes, je me rends au musée bibliothèque pierre-andré benoit à alès. né le 15 septembre 1921 à alès et mort en 1993, pierre andré benoit (dit pab) était imprimeur, poète, sculpteur et dessinateur. imprimeur et éditeur de nombreux artistes et poètes qui lui ont fait do