J’aimerais un jour, Pouvoir trouver l’amour, Sortir de cette cage de sureté, Pour pouvoir enfin m’envolé. Gagné enfin cette vie, Qui depuis toujours pourris, Au fond de mes tiroirs, Comme un pantin qu’on laisse au placard. Alors comme le lâche que je suis, Je continue et j’écris, Même si ma douleur est grande, J’ai peur de ce qui

Je voulais faire de ma vie une romance digne des grands comptes que j’ai lue étant enfant, j’ai échoué… Ma vie n’est rien d’autre qu’un cauchemar, un foutoir sans nom, je n’ai pas envie de regretter tout ce que j’ai fait dans ma vie, au moment où j’écris, je me laisse 346 jours pour changer ma vie. Je veux faire de cette vie

Je me demande, seul dans mon labo si ce que je fais as un sens. En face on me dit que je fais du beau bouleau et dans mon dos ou plus tard j’entends que je ne bosse pas. Que croire? Quand travaille je ne compte pas mes heurs mais en regardant la pendule je me fais une idée du temps passé à travailler. De 22h à 14h voir jusqu’à 15h certains

Chapitre 2 : Une sale journée… Au lever du soleil Vincent fit un dernier tour de patrouille pour vérifier qu’aucun américain ne trainais dans les parages, il décida alors que réveillé la fille serais un choix judicieux. Il la sortie délicatement avec le sac de couchage à l’aire libre, vérifia qu’elle alla bien et la réveilla déli

A chaque fois que j’ai tenté de me suicider, j’ai toujours éclaté en sanglot, je n’ai jamais eu le courage de la faire… Mais je n’ai jamais eu le courage de vivre non plus, donc je suis coincé entre sanglot et dégout. J’aimerais trouver le courage de vivre, trouver cette motivation que tant d’autres semblent avoir… Je ne sais p

Chapitre 3 : Un apprentissage rude. Vincent décidas de commencer par le plus simple selon lui pour Julie, le camouflage. « C’est la base de la survie à la guerre, ça et les pièges mais on vas commencer par le camouflage. ». Vincent expliquas alors que le mot d’ordre était : adaptation, essayé de prendre la forme de son environnement ou

Chapitre 1 : Une rencontre imprévu. En parcourant les décombres encore fumant de la ville, Vincent se senti comme très mal à l’aise. La ville avait des aires de ville fantôme, mais il restait très prudent. Au détour d’une rue il entendit un cri venant d’un décombre à environ 25 mètres de lui. Sa progression s’annonçais difficile

Il y a un objectif que je me suis aujourd’hui fixé, Mais que jamais je ne tiendrais, Celui de devenir heureux et de rendre, Ce dernier à ceux qui n’ont pas pu le prendre. Ce que j’ai longtemps redouté, Vas bientôt arriver, Cette solitude qui n’en finit plus, M’emporteras dans la tombe comme une crue. Suis-je dépressif ? J’en suis s

Un jour, un amis m’as dit de ne jamais baisser les bras, de toujours croire en l’avenir, que tout était possible avec de la volonté. Aujourd’hui je n’en croie plus un mot, ma volonté n’est plus qu’un lointain souvenir, mon avenir est écrit dans un livre, et je ne pense plus que mes rêves soir possible. Il y a une raison simple à

Prologue. C’était un jour de novembre, il y avait un temps nuageux et il commençait à pleuvoir sur le petit village de Vincent. Il regardait par la fenêtre de sa chambre. Il pouvait y voir tout son village et la montagne sur la quel il était installé. Un sentiment de mélancolie l’envahissait à chaque fois qu’il regardait ce paysage ma