13ème jour, Joal "Je me rappelle les signares à l'ombre verte des vérandas Les signares aux yeux surréels comme un clair de lune sur la grève. Je me rappelle des fastes du Couchant" Léopold Sédar Senghor En allant au sud de Dakar, on rejoint la côte touristique. C'est à Joal, terre natale de Léopold Sédar Senghor que nous nous arrêtonsB
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Pour finir et parce que le soleil était enfin revenu, je suis allée à Honfleur. D'autres avaient eu la même idée ! Le port de Honfleur Comment échapper aux clichés immuables ?
Que faire à la mi-juillet à Paris alors que l'on rêve d'autres horizons ? Des balades, des expositions, des explorations... Le coeur est ailleurs mais allons-y !!Une visite à la Maison de la photographie Les gens se pressent... le programme est alléchant ! Tiens, le vent s'est levé Je ne m'attarde pas, je continue ma route Je m'arrête un ins
Paris-Lisbonne J'attends des heures interminables avant l'Afrique... Lisbonne-Dakar L'avion décolle pour le grand voyage. Je m'assoupis une heure. L'appareil descend, je vois les côtes de l'océan, les vagues blanches, les lumières de Dakar. Sur le tarmac, toujours cette même sensation de rentrer un peu chez moi ! Atmosphère chaude, odeur trop
3ème jour, Yene (40 kilomètres de Dakar) C'est dimanche, la route est fluide. Un seul axe pour sortir de Dakar. 1H30 pour parcourir 40 kilomètres. Tout de même ! Le site a changé, les plantes ont grandi, les arbres ont envahi les murs et le portail Un vent de sable s'abat sur le paysage Puis la pluie drue qui fraîchit l'atmosphère Le lac, ex
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24 décembre 2008 Le vent est glacial et la lumière sur le lac éphémère La neige est tombée, elle reste là illuminée par le soleil Je suis fascinée par ce paysage irréel Alors je mitraille Dans la ville, les gens s'affairent à leurs courses Pourtant la ville paraît calme, provinciale Moi, je m'attarde et je flâne Je capture des images J