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Poème sans fin d'Allan Kartner

Chers lectrices et lecteurs. Après 40 ans d'écriture, poésie, nouvelles... J'ai constaté que tous mes poèmes , au bout du compte, ne faisaient qu'un. Donc, je n'écrirais, ici, qu'un seul et unique poème et SANS FIN. Il se terminera à ma fin. Bonne lect
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Articles : 5
Depuis : 16/02/2020
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Les écrits d'Allan Kartner

Écrire juste pour écrire comme un oiseau qui vole juste pour voler.
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Articles : 8
Depuis : 12/02/2020
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

La ville morte

La ville morte

Un homme s'est couché, Les mains, les pieds gelés, La terre s'est enneigée La ville est morte. Un homme abandonné, Le coeur, le corps brisés, Le ciel s'est effondré, La ville est morte. Personne ne l'a vu, Au milieu de la rue, Ses bras, sa tête nus, La ville est morte. Un homme dans le noir, Gisant sur le trottoir, Un parfum d'encensoir, Der
Les petites gens

Les petites gens

Les grandes pierres ont leur histoire Les grandes villes ont leur mémoire Les grands hommes gagnent la gloire Mais qu'en est-il des petites gens ? Les grands soleils vivent de jour Les jolies filles vivent d'amour Et le gentilhomme aime toujours Mais qu'en est-il des petites gens ? La brise passe douce et légère Les nuages se gorgent de lumière
Poème sans fin de 1001 à 1250 vers

Poème sans fin de 1001 à 1250 vers

Au bout de la table, une clochette à la main Le père Claude gardait les yeux fermés, Derrière ses paupières regardant le divin, Le 25 décembre, ma première journée. En ce jour de Jésus, en ce jour de naissance En ce jour de Noël accoudé les mains jointes, Je regardais dans l'âtre le chaudron qui balance, Et Claude retournant les braises
Poème sans fin de 751 à 1000 vers

Poème sans fin de 751 à 1000 vers

Pas un champ, pas un arbre, pas de poules Pas de colombes, que l'ennui qui roucoule. C'est cela qu'il n'aimait pas le Ferchaux, C'est cela qu'il pensait sous le chapeau. Car il était bien de la terre l'Antonin, De cette terre grasse aux odeurs de purin, Où vont les vaches, ruminantes des près, Une brebis ou deux à demi égarées, Les papillons
Velours

Velours

J'aime ces velours de pourpre enivrés Que la maison Grandjean, ce matin, m'a livrés Je les savais fort beaux mais pas aussi magnifiques D’un rouge éclatant, intense, joyeux, romantiques. Ils ont belles allures sans même une poussière, Ou un fil dépassant des coutures aux arrières, J'aurais pu douter de la façon, du travail, Mon voisin pre
Poème sans fin de 501 à 750 vers

Poème sans fin de 501 à 750 vers

Le jardin avait belle allure et sentait bon, Sentait la douceur de la prune, du figuier Une terrasse et trois marches vers le perron, De grands bacs fleuris sur le palier C'est ainsi qu'elle vous accueillait chaque jour, Dans les parfums suaves de la nature, Offrant à vos yeux les couleurs de l'amour, La maison de mon enfance si pure. Installé su
Poème sans fin de 1 à 250 vers

Poème sans fin de 1 à 250 vers

Serait-il un sens caché à mes propos? Une idée étrange derrière tous ces mots Je vous rassure d'avance sur l'intention Il ne s'agit, ici, que d'une abstraction Il n'est pas non plus de philosophie Du changement du cours de notre vie D'une ère nouvelle ou d'un délire Ce qui m'importe est de vous écrire. L'art d'écrire est un art de vivre Un
Le poète

Le poète

Le poète On dit le poète différent Et du matériel un indigent La gent en la matière a raison Car il ne vit que de passion Celle d'aimer sans même cesser Celle de lire dans ses pensées Celle de voir dans les roses Outre la beauté, d'autres choses On le dit éloigné du monde Et des vagues n'être que l'onde Le poète est sensible au bonheur

La poésie selon A K

La poésie Qui, aujourd'hui, peut se prévaloir d'être poète ? Le vent, sans nul doute. Suis-je alors une petite brise marine ou une tempête sur l'océan ? A bien y songer, rêveur que je suis, je pencherais plutôt vers l'éphémère nostalgie de l'instant. Sachez que mes écrits, si tant est je les sortent du tiroir, ont pour la plupart l'odeu
Plus le temps passe

Plus le temps passe

Plus le temps passe, Ma jeunesse, File et s'efface, La vieillesse, Vient et s'installe, Doucement, Vient et s'étale, En cheveux blancs. Plus le temps glisse, Ma jeunesse, Adieu délices La vieillesse, Folle se pose, Simplement, Plus une rose, Dans le printemps. Plus le temps roule, Ma jeunesse, Mes yeux qui coulent, La vieillesse, Vient et m'emmè