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cilbogo

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Les mots

Pour l'amour des mots et l'abandon de soi qu'ils imposent
cilbogo cilbogo
Articles : 275
Depuis : 16/01/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Willy

Willy

Un regard que tu croises deux fois dans ta vie, Une graine de café, un gamin, un frère, Tant de noms pour un seul arraché à la terre, Un sourire, et ton cœur ouvert à l’infini. C’est la voix qui me manque, et la douleur des mots, Aurais-je préféré ne rien dire du tout ? Un rayon de soleil éclatant parmi nous, Je te vois t’envoler et
Trop la haine

Trop la haine

Je n'ai rien inventéJe ne sais plus écrire.C'était un don, un rêve,Evanoui, envolé. Quand je me relisJe comprends.Ce n'était donc pas moiQui maîtrisait mes doigts. Je le savaisEt n'ai pas attenduDe perdre les motsPour m'en apercevoir. 20 août 2010
En musique

En musique

Invitée dans ton univers,Je te découvre Corsica,Toi qui as franchi les frontièresPour nous apporter ta Gioia ! Portée aux nues par ta musique,Je te respire Corsica.Ta voix lumineuse et magiqueRévèle ce qu'on ne voit pas. Bercée au rythme de ton art,Je te remercie Corsica,Tu as ébloui mon regardEt encore m'éblouiras ! 27 mars 2010
En attendant

En attendant

L'amour est un hasard, une coïncidence,Qui donne à nos regards un éclat si intense Y brillent nos espoirs, reflets de nos consciences,Même lorsque le noir renie notre existence. Mais ce n'est pas un jeu, où il faudrait gagnerLa confiance de ceux qui osent nous juger Nous savons que seul Dieu rend l'oeil à l'aveugléEt offre au courageux son v
Asphyxie

Asphyxie

Qu'il est terrible de se sentir étouffer !J'haletais, je suffoquais, ne respirais plusEt puis soudain, la tramontane s'est levéeL'air s'engouffrant dans le ventre des mots perdus. Ejectées les dernières lettres retenues,Jusqu'à la plus insignifiante des consonnes.Oubliées les voyelles qui tombaient des nues,Glissant sous mes pieds comme les f
Marée basse

Marée basse

Mouette rieuse sur l'algue verte,Tu joues avec le pli de la vague.L'eau qui se mêle à la plage ouverteRevient et repart en un zigzag. Sur le ponton, quelques vieux cordagesRegardent la mer déambuler,Offrant aux passants sur le rivageSon odeur salée de crustacés. Fille rêveuse à la fenêtre,Tu poses tes pieds sur ce balconD'où s'envolera, qu
Vacarme

Vacarme

Profond silence où la respiration se coupe, Là où le coeur se fige, vaines espérances, Tombe avec mes cheveux le moral dans la soupe, quand à couteaux tirés, sa voix se fait sentence. Au mur de l'insolence, j'ose ces paroles Qui montent en écho et froissent son égo. C'est alors qu'en éclats, ses cris à moi s'envolent, Pour brûler en mon

Bien longtemps

Un olivier sur un bateau, le bateau d'OlivierL'olive dans un bocal, vide et vidée.Où est Dieu dans tout ça ? Juste à côté du bocal. Un pont suspendu sur ton dos, ton dos qui s'est rompu.Mais pas tes eaux un peu sales, Paris violé.Je suis allée le voir. Assise au fond de la salle. Ce n'est pas tous les jours qu'Il me décide à l'écouterMai
Comme un jeudi

Comme un jeudi

Il y a des jours avec et des jours absentsPourtant, Lui, est toujours là !Où donc se cache mon coeur lorsque je ressensUn vide ? J'ai beau cherché ailleurs que dans tes yeux sereins,Il sourit à mes faux pasEt me tend, comme une bouée, ta douce main,Et puis ta peau. Merci d'être attentif à chacun de mes signes,Surtout de ne rien lâcher,Merci
Absolu silence

Absolu silence

En quête de mots, je ne trouve rien, que les battements de ton cœur en écho aux miens. J'aurais voulu figer les couleurs d'une ville, te peindre ses jardins, sa luminosité, mais c'est dans le silence que je te la dessine et t'offre en souvenir mon souffle à l'air marin. J'aurais aussi aimé te dire en poésie combien l'année fut belle, assise