Hime-Chan
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Les petits bouquins d'Hime-Chan
Un petit coin de lecture et d'écriture, où vous pourrez faire votre nid...
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Depuis :
06/03/2013
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Cathédrale de Metz, avril 2019 Où vogues-tu, nef sacrée ? Où vont les chants de ton chœur dans l’abside ? Quels vents d’orgue portent tes voûtes ? Vaisseau de pierre, cherchant la route… Bénis soient les embruns qui caressent Les flancs de ta coque pavée. Le ressac a emporté ma foi Mais ta beauté de navire céleste Est une prière d
Les Défis Fabuleux et Frappés des Funambules Calligraphes #7
Septième défi ! Allons-y ! Tisama a décidé cette fois de faire dans l'original et m'a donné pour thème Les plaisirs de la porte, un poème de Francis Ponge. Celui-ci, dans son recueil Le Parti pris des choses, se fait le porte-parole des objets, cherchant à les décrire le plus justement possible en s'appuyant sur leurs caractéristiques mai
Bienvenue dans la chronique littéraire de la semaine ! Vous boirez bien quelque chose ? Aujourd'hui, j'aurais pu vous présenter "Jeune et con" de Damien Saez ou bien "Fire" d'Ayo, mais j'ai décidé pour parler de jeunesse rebelle d'évoquer les mots d'un chanteur à l'apparence timide, mais qui savait très bien mordre lorsque c'était nécessai
Casse L'espace Déchire les dimensions Pas De temps Là où je vais Que des tensions Un univers unilatéral Létal Fatal Le vide Violent Qui évolue lentement Absence Silence Latence J'ai plongé dans la prunelle dilatée d'un trou noir pour fuir la lumière déchirante des astres et, au-delà, je n'ai vu que la mort. __ Sa silhouette s'effaçait d
L'eau est si calme et si froide Figée sur cette orbe de pierre et de glace Silence Temporalité dissoute Dans l'absence de sens La lumière bleue et indifférente D'une étoile lointaine Enveloppe le monde Nuit américaine Morne Amère Eternelle
Vue de Londres, août 2018 Je suis enfant de la ville et du béton Le sang dans mes veines ressemble à du goudron Et pourtant je voudrais voir à mes pieds Les murs de cécité des cités s’effondrer Aveugles aux charmes et aux beautés D’un monde qu’elles ont trop souvent exploité Fascinée, captivée par ces géants de ciment Ces paquebot
C’était un soir de janvier Il faisait bon On avait sur la langue Un rire pétillant Au goût de houblon On a levé nos verres A quoi ? J’ai oublié Mais la lumière dorée Sur les courbes du bois Et la joie partagée Comment les oublier ? Souvenirs à chérir…
Aujourd’hui, je vous parle avec des larmes dans la voix. J’ai fait une rencontre. J’errais, perdue dans cette blogosphère que j’aime tant, si riche de trésors, sans savoir où j’allais. Je cherchais quelque chose. Mais quoi ? Des mots, évidemment, des mots, encore des mots, toujours des mots. Pas juste de jolis mots, on en trouve des c
Aujourd'hui je voudrais vous partager un poème que certains d'entre vous ont lu sur le blog de Solifera, à l'époque où il existait encore. J'avais participé au Solifera d'Or, concours dont le thème était la solitude et où la seule contrainte était d'écrire en alexandrins. Exercice ô combien difficile pour moi, mais si l'on ne sort jamais
Bonjour tout le monde ! J'espère que vous allez bien. De mon côté, ça va mieux, vous aurez remarqué que le dernier message n'était pas des plus réjouissants... Histoire de me remonter un peu le moral, mon amoureux m'a emmenée hier dans un endroit merveilleux : Fontenoy-la-Joûte, village du livre de Meurthe-et-Moselle ! (petite pub ICI) Ce