A force de ne pas la recoudre cette poche trouée, il fallait bien que ça arrive, ça me pendait au nez. plusieurs fois déjà je nous avais ramassés tout cabossés, sur le chemin, j’avais soufflé sur la poussière, remis du neuf , recollé, nous avais ressaisis fort au chaud de ma main, serrés. e t puis on relâche l’étreinte... parfois,