Après les neiges de leur séjour au canada, la bolivie les accueille pour un plus court séjour, coloré et dépaysant des cairns dans le salar d'uyuni qu'on ne retrouve pas dans la lagune au chili pas question d'aller au chili sans faire une halte à san francisco di chiu-chiu. en france, les agriculteurs, mettent des cloches aux vaches, au chili

Il y a quelques années, j'avais réalisé un carnet entier sur leur séjour en mauritanie. cette fois ci, leur voyage sera plus bref mais toujours aussi coloré à commencer par les pirogues ou la vie en ville. traditionnelles khaïmas sur la plage ou ailleurs. les sorties dans le désert offrent de bons moments de partage.

Pour nous remonter le moral la télévision l'a annoncé à tout va : "le printemps est là". pour preuve, les fleurs autour de nous, le jardinier qui travaille sa terre, (à voir sur https://lhuissellois.canalblog.com/ les brebis pour qui "printemps" rime avec naissance , et à défaut de soleil pour aller randonner, reste toujours la solution d'a

Depuis leur première demande de réaliser leur carnet de voyage, il s'est passé beaucoup de temps. le canada les a accaparés pendant une paire d'années et ce séjour à donné lieu, d'après leurs photos, à quelques croquis souvenirs. janvier : premier tour de quartier dans la neige. au québec. les écureuils sont affamés. le saint laurent c

14 janvier : journée mondiale de la logique.

Faire le bilan de l'année passée n'est guère plus intéressant que ce que j'écrivais l'an passé à la même époque . "tant de drames humains peuvent nous empêcher de faire la fête et pourtant nous allons tourner nos regards vers l'avenir pour le construire avec espoir, nous ouvrir à la joie, à l'amour, à la tendresse car nous n'avons pas

Nous commençons l'année au soleil. cette année ce sera la côte vermeille. collioure où, fuyant la foule du port, nous découvrons le charmant quartier des artistes : le mouré. en nous rendant à banyuls : petite marche pour se mettre en jambes (et qui a bien inspiré mon ami pour la bannière) côté espagnol : je n'ai jamais tellement aimé