Pierre kobel voilà c’est fini et, comme toujours, on se dit : « dommage ! » parce qu’on voudrait poursuivre l’aventure plus longtemps. c’est cela, les journées de l’apa. depuis trois jours, nous étions dans un hors temps entre brouillamini de paroles, rires, amitié et échanges incessants. je participe sans participer, l a logistiqu

Pierre kobel un des témoins du podcast de france-culture, le journal de ma vie, écrit que tenir son journal, c’est « écrire des choses que l’on veut à la fois cacher et hurler au monde. » est-ce que je cache beaucoup de choses dans mon journal ? est-ce que j’y hurle, ce que je ne peux pas faire ailleurs ? quand j’ai commencé à le te

Martine l. il fut une époque où, dans le monde des livres du jeudi daté vendredi, étaient annoncés salons, rencontres littéraires… de la semaine suivante. dans le monde du vendredi 14 juin 1996, j’ai lu ceci (page retrouvée grâce aux microfilms conservés à la bnf) : je me souviens que ce fut une révélation : des gens s’intéressai

Anne-claire lomellini-dereclenne hier il commençait à faire chaud sur paris. l’après-midi n’était pas suffocant, car il soufflait une petite brise et, quand je suis passé au niveau de chez julien après avoir dépassé le dos de la cathédrale saint-gervais, celle-ci m’apporta quelques notes d’immortelles. en effet, à cet endroit se t

Mireille podchlebnik il m’aura fallu du temps avant de pouvoir écrire sur mes liens avec l’apa, car je dois avouer qu’à la lecture de tous les témoignages déjà présents sur ce blog, je ne me sentais pas très légitime. l’implication forte et remarquable de la plupart dans le travail de l’association, certains à l’origine de sa c

Catherine bierling voici bien longtemps que je voudrais écrire sans en trouver le temps et peut-être la motivation, car, si je ne peux que m’étaler sur mes mélancolies et sentiments de déprime, à quoi bon ? bien sûr, je suis toujours le blog avec intérêt et j’aurais aimé réagir spontanément à certains textes, mais, quand je suis da

Pierre e. premier contact physique avec des membres de l’apa en 2006, donc. je remarque une large prépondérance de chevelures argentées. alors quadragénaire, je me vois faire partie des plus jeunes et cela m’amuse. parmi les écrivants du net j’étais plutôt dans la catégorie des « vieux » ; ainsi, cela rétablit un équilibre. à lyo

Pierre e. un jour de 2010, je reçois un coup de téléphone de la part d’un journaliste de france-culture. celui-ci, par l’entremise de l’apa, sollicite mon témoignage pour un documentaire centré autour de l’écriture intime en ligne. autant honoré qu’effrayé par cette mise en lumière, j’accepte. quelque temps plus tard, en écout

Christian lejosne quand je sors la faute à rousseau de ma boîte aux lettres, je sais que je lirai cette revue intégralement, pas nécessairement dans l’ordre des pages, priorisant les articles qui m’intéressent le plus : c’est parfois c’est le sujet principal, parfois un article sur un livre que j’ai lu ou un auteur que je connais. th

Christian lejosne en 2005, pour fêter les 80 ans de mon père, j’ai écrit un livret dont les chapitres alternent son enfance et la mienne. imprimé en une vingtaine d’exemplaires, je l’ai distribué à tous les membres de la famille. quelques mois plus tard, mon frère aîné m’envoie un article du monde qui présente l’apa. enthousiasm