" elle approuvait une difficulté atroce à offrir son corps a cet homme qui , si bien était un ami de longue date dans son univers virtuel, il ne lui inspirait pas une confiance totale, quelque chose en lui était un mystère, ténébreux voire même inquiétant, elle repassa en visite touts les longs moments passé devant l’écran, parfois jus

"le grand masturbateur" (salvador dali) description comme souvent dans les toiles de dali, le fond est constitué d'une plage et d'un ciel bleu typiques de la méditerranée. au centre se trouve une figure étrange, un visage humain distordu face à terre. la forme générale est celle des rochers du cap de creus où le peintre se rendait réguliè

"mon corps est comme la cité du soleil, il n’a pas de lieu, mais c’est de lui que sortent et que rayonnent tous les lieux possibles, réels ou utopiques" (michel foucault)

"les mamelles de la femme sont plus fécondes que la vigne, plus pleines de délices que le raisin mûr, plus enivrantes d’amour que le vin le plus délicat et le plus parfumé." (alphonse louis constant )

« je voudrais vieillir sans aucun recours à la chirurgie. je veux avoir le courage d'être loyale vis à vis de la tête que j'ai. » (marilyn monroe)

Le corps est le miroir de l'ame le corps est le miroir de notre etre le corps est le miroir dede nos pnsées le corps est le miroir de nos peines le corps est le miroir de nos douleurs le corps est le miroir de nos douffrances le corps est le miroir deboires le corps est le miroir de aspitations le corps est le miroir de nod frustrations le corps e

"la fréquentation des hommes induit à s’observer soi-même." (franz kafka)

" mon corps est utilisé et connu par autrui " (jean-paul sartre)

"ses pieds avaient laissé des traces sur le sable, ses empreintes graciles formaient une ligne sinueuse qui s’étalait comme une couleuvre agonisante sur le long du rivage et qui se perdait dans l'horizon faussement brumeux. une idée m'est spontanément venue de récupérer ces émanations de la belle, de les faire miennes et aussitôt je mis t

"quelle solitude: deux milliards d’hommes en long et moi, au-dessus d’eux, seule vigie." (jean-paul sartre)