Avec un décalage de plus de 2 mois du à une absence de connexion internet aux san blas, voici enfin la suite du périple... pendant cette première nuit que nous passons au mouillage à cartagena, nous avons tout loisir d’apprécier la quiétude de cette grande baie intérieure, il est vrai quelque peu troublée par le passage incessant des lan

Les prévisions météo étant conformes aux conseils que nous avons pu glaner dans les différents guides (notamment celui -gratuit, mais bien fait- de virgintino) ou blogs (citons en particulier celui d’ « etoile de lune » - très complet bien que commençant à dater un peu), nous partons à l’assaut de la péninsule de guajica que les am

Bien que l’escale de cartagena nous ait enchanté, nous ne sommes pas mécontents de reprendre la mer après 2 semaines passées dans la fournaise urbaine. dès la sortie de la baie, nous sommes remerciés de notre visite par un beau thon de 4 kilos qui nous fera 8 repas à 2… notre première étape dans les iles de l’ouest de la colombie nou

Nous avons gardé le meilleur pour la fin: les cayos holandes; quand je dis le meilleur, c'est en faisant référence aux guides nautiques qui sont unanimes pour dire qu'en particulier à l'est il y a une vaste étendue d'eau calme aux eaux turquoises surnommée par la communauté des navigateurs "the pool" ("la piscine"). il y a aussi un petit ban

Un nouveau saut de puce (depuis nargana, la plus longue distance entre deux ecales ne dépasse pas 10 miles) et nous voici à porvenir, ile qui ne présente pas grand inétrêt, si ce n'est d'être le point d'entrée officiel dans le territoire kuna yala où nous sommes clandestins depuis deux semaines, depuis que nous sommes arrivés aux san blas.

Nargana, c'est la plus importantee des iles-dortoirs et elle tient lieu de capitale: c'est là que se trouve le dispensaire (très bien équipé), le "tribunal" kuna (le kunas jugent à leur façon les petits délits), la prison pour les délits jugés par panama (une case comme les autres en fait), une banque (mais qui ne fait ni change, ni débit

L’arrivée en baie de santa marta en venant de l’est est assez surprenante : en effet, alors qu’en longeant la côte on n’est plus qu’à environ un mile nautique de l’arrivée, on ne voit rien, ni de la ville, ni du port ; le port de commerce est caché par un petit cap et la ville par l’île el morro. puis on passe entre les deux et

A regret, nous finissons par quitter santa marta et nos nouveaux amis johanna et françois pour aller passer noël à cartagena avec cindy et matt. l’étape est de 115 miles, mais nous avons prévu de nous arrêter à mi-chemin dans l’anse de puerto velero, car les prévisions pour la nuit sont des vents de 30 nœuds, alors que la journée ils

Dantesque ! dantesque, c'est le mot pour qualifier l'état de la mer à notre arrivée aux san blas ! quand nous sommes partis de fuerte, les prévisions météo donnaient des creux de 3m, mais le mouillage était tellement rouleur que le choix était de subir une 5ème nuit à l'ancre sans pouvoir dormir, ou passer la nuit en navigation en accepta

En théorie, les cinq baies faisant partie de l’immense parc national tairona, on n’est pas autorisés à y mouiller sans autorisation spéciale (ni paiement de la taxe en rapport, bien entendu), mais le guide officiel fourni par la colombie signale que c’est toléré si le port d’entrée n’est pas santa marta, ce dont nous avons bien év