"L’absence selon Camille" de Benjamin Fogel : la transparence en question…
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Rock, cinéma, BD, littérature, coups de cœur et coups de rage, tout ce qui permet à un Pokémon de survivre dans un monde en perpétuelle crise...
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Le journal d'un excessif
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Play It Loud !!!! Le rock'n'roll, c'est fait pour la scène...
Depuis que j'ai 15 ans, ce qui nous fait un bail, je fréquente les salles de concert de par le monde, au gré de mon lieu de résidence. Il était temps de capturer quelque part tous ces grands et petits moments d'émotion, de rage, de déception, de plaisir...
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Articles à découvrir
Trois ans, il nous a fallu attendre trois ans pour connaître le mot de la fin de la trilogie Irina/Manon/Camille de Benjamin Fogel ! Il faut dire que l’animal ne manque pas d’occupations, entre son excellente maison d’édition Playlist Society et son goût pour la musique à tête chercheuse, il n’a pas dû lui être facile de s’arrêter
"Sky Dome 2123" de Tibor Bánóczki et Sarolta Szabó : travail de deuil et évolution…
Même si l’on appelle de nos vœux le développement d’une véritable SF adulte sur nos écrans, à l’image de la littérature de genre – qui connaît une véritable nouvelle époque dorée en Asie -, l’influence néfaste de la vision US de ce que doit être un spectacle populaire (commercial) se fait toujours autant sentir. Sky Dome 2123
The Talented Mr Ripley de Patricia Highsmith, l’un des chefs d’œuvre du roman noir, a déjà été adapté deux fois au cinéma, dans deux films remarquables : Plein Soleil (1960) de René Clément fut l’un des films phares qui révéla au grand public le jeune (et beau) Delon, tandis que The Talented Mr Ripley (1999) d’Anthony Minghella,
"La délicatesse", bardé de ses prix littéraires et de sa version ciné avec Audrey Tautou, fait partie de ces bouquins anodins qui se lisent sans peine (style agréable, humour léger, (très) relative inventivité formelle avec ces "chapitres" informatifs un peu décalés, et ces détours par des personnages secondaires), et qui s'oublient auss
Damon Albarn et Joan As Police Woman - Vendredi 5 Novembre 2021 - Gaîté Lyrique (Paris)
Seconde soirée du Festival Arte et on attend de savoir, en pénétrant dans la Gaîté Lyrique à quelle sauce on sera mangé. A l'entrée, on nous prévient déjà : il faudra vous déplacer autour de la scène car Damon va bouger. Bon, on se prépare au pire, et c'est vrai que, au premier regard, la scène ressemble à un cauchemar, encombrée q
"Le mal n'existe pas" de Ryûsuke Hamaguchi : le mal existe...
L'exceptionnelle réussite de Drive My Car et le passionnant Contes du Hasard ont placé Hamaguchi très haut dans ma liste personnelle de cinéastes à suivre. Du coup, par rapport à mon niveau d'attente vis à vis de ce nouveau film, qui plus est primé à Venise, Le mal n'existe pas a constitué pour moi une légère déception... qui ne remet
"The signal" de Florian David Fitz, Nadine Gottmann et Kim Zimmermann : « Hello ? »
Une astronaute qui fait de la recherche sur l’ISS est témoin d’un fait inexpliqué. A la fin de sa mission, elle ne reviendra pas vers sa famille – son mari et sa fille : ces derniers, accablés par sa disparition, essaient de comprendre ce qui a bien pu se passer, et vont découvrir une vérité effrayante. Cette histoire vous rappelle quel
Une soirée au légendaire Crazy Horse, surtout quand elle vous est offerte, cela ne se refuse pas, non ? La réputation des filles du Crazy, toutes jadis calibrées pour atteindre une perfection "clonique" allié au professionnalisme talentueux d'une équipe à l'exigence extrême ont fait la réputation internationale du lieu, et si les choses on
"Rebel Moon : Partie 2 – l’entailleuse" de Zack Snyder : le pire est toujours possible…
Ecrire à propos d’une expérience aussi désastreuse que le visionnage de la seconde partie du Rebel Moon de Zach Snyder pose un certain nombre de défis. Le premier est la question – fondamentale – de l’utilité d’une telle « critique », puisque les fans de Zach Snyder continueront sans doute à clamer qu’on ne comprend rien au gén
21 h 30 pile, avec une ponctualité toute britannique, Elbow entre en scène sous une ovation impressionnante. Bon, les cinq musiciens ne payent pas de mine, avec leur look de quadragénaires mancuniens que l'on imagine plus au pub une pinte à la main que sillonnant le monde à jouer du rock'n'roll. Les premières notes de The Birds s'élèvent, G