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marie-anne8

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Tags associés : fatrasie, texte, philosophie, poeme

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Le Pélican zinzolin

Textes, poèmes et fatrasies
marie-anne8 marie-anne8
Articles : 29
Depuis : 27/10/2016
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Le nom des animaux

Une drôle d'histoire, que celle des noms. Savez-vous qui a donné leur nom aux animaux ? C'est le premier homme, Adam. Quand le Bon Dieu l'a créé, le sixième jour, il lui a présenté les animaux l'un après l'autre et Adam leur a donné un nom. Dieu a montré un animal avec des poils, des griffes, une queue et des yeux qui changent à la lumi

Plénitude

Se réveiller au coeur de la nuit.Tendre la main vers vous.Caresser l'absence.Et ressentir, plus fort que le chagrin de ce qui n'est plus,L'immense gratitude pour ce qui fut. 10/01/2017
Histoire de Nini Caféine, chatte choyée chez mamie Chacha

Histoire de Nini Caféine, chatte choyée chez mamie Chacha

Bonjour. Moi, c’est Nini Caféine. C’est comme ça qu’on m’appelle depuis que je suis arrivée dans la maison de mamie Chacha, il y a bientôt 6 mois. Avant, on m’appelait « le chat » ou Minou ou « sale bête », enfin, je veux plus savoir. Parce qu’avant, c’était pas bien. Y avait des sales gosses qui me tapaient, des humains mé
Si vous entrez à Monségur en venant de Duras,

Si vous entrez à Monségur en venant de Duras,

Si vous entrez à Monségur en venant de Duras, vous voyez à votre gauche, au croisement de la route de la Réole, le buste d'un homme torse nu, très musclé, au visage déterminé et fier, à la barbe conquérante. C'est le docteur Rouhet : Georges Rouhet, docteur en médecine, habitait Taillecavat, près de Dieulivol, au tournant du XIX° et du

Le bal costumé

Texte de l'atelier d'écriture, le sujet et le costume étant imposés. Vêtue de ma robe orange bien empesée, tombant jusqu'aux pieds, je dois manœuvrer pour passer la porte. A l'huissier qui me demande mon nom, je réponds : « Mandarine Clément » et c'est sous cet alias que je rentre dans la salle de réception illuminée a giorno et remplie

Matin frisquet

Le réveil sonne. Tu tends la main hors du lit, la ramènes glacée Sous la couette où tu t'attardes à rêver. Tu te lèves, déjeunes dans l'aube grise ; Tu t'habilles, maillot, chandail, tricot, Pantalon chaud, bottes fourrées, Manteau, châle, bonnet, mitaines. Tu sors, le soleil point. Tu ouvres ta voiture, Tu te glisses dans ce palais des g
Février

Février

Eblouissant soleil Sur un lac incongru Explosion de bonheur

Chats

De ceux qui me suivent dans mes balades A celles qui couvent mon clavier De celui qui chauffe au soleil Sa bedaine d'eunuque béat A celui qui met tout le monde d'accord De celle qui dort dans l'armoire Parmi mes dessous et mes dentelles A celle qui vivait sous les voitures De celle qui m'a choisie A celle qui me fuit De celle qui ne quitte pas mon

Oh ! Le con !

Bon, on ne va pas se mentir, on en connaît tous un ou deux comme ça. Et je suis gentille. Audiard disait d'eux : "les cons, ça ose tout. C'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît". Mais comment les définir ? Par une simple constatation : Il est con comme un balai, couillon comme la lune. Il est pas fini. Il n'est pas tout seul dans sa tête.

Le travail de Sisyphe

Le travail de Sisyphe, C'est toute mon enfance, C'est toutes les enfances. Ce sont quinze ou vingt ans Que l'on nous fait passer Dans une école grise Pour apprendre la Vie, Ou ce qu'on nous en montre. Ce sont les jours semblables Qui succèdent aux jours. Le lever bien trop tôt Dans un petit jour gris. Le long trajet en car, Toujours les mêmes t