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CoralineLambert

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Un certain cinéma

Plus on grandit, plus on se connait; le cinéma hollywoodien des années 20 à 50 est mon préféré, pourquoi ne pas en parler? La porte n'est pas fermée au cinéma actuelle: elle est ouverte avec curiosité...
CoralineLambert CoralineLambert
Articles : 275
Depuis : 05/03/2014
Categorie : Films, TV & Vidéos

Articles à découvrir

Vivre et aimer, de Clarence Brown (1934) : l'ascension sociale de Sadie McKee

Vivre et aimer, de Clarence Brown (1934) : l'ascension sociale de Sadie McKee

Pour les paresseux et paresseuses, la filmographie de Joan Crawford se résume à un western sans intérêt, Johnny Guitare (mais où était donc passé le Nicholas Ray de Traquenard?) et au grotesque Qu'est-il arrivé à Baby Jane? aux côtés d'une Bette Davis en plein cabotinage. Mais Joan Crawford fut beaucoup plus que ça : flapper dans les an
Chez les heureux du monde, de Terence Davies (2000) : les bons choix aux mauvais moments

Chez les heureux du monde, de Terence Davies (2000) : les bons choix aux mauvais moments

Chez les heureux du monde , d'après le roman du même nom d'Edith Wharton, fait parti de ces films dits classiques : bonne mise en scène, beaux costumes, beaux décors, bons comédiens, bonne intrigue. Oui, certes. Mais il y a plus, chez Terence Davies : une émotion impalpable, une mélancolie sourde qui, si on n'y prend pas garde, vous submerge
San Francisco, de W.S. Van Dyke (1936) : open your golden gate!

San Francisco, de W.S. Van Dyke (1936) : open your golden gate!

Comment faire du fameux tremblement de terre survenu à San Francisco un sujet romanesque, objet d'amour et de rédemption? W.S. Van Dyke vous explique comment. En 1906, à San Francisco, donc. Blackie Norton (Clark Gable) est un des rois de la ville grâce à son music hall. Menant une vie que son grand ami, prêtre, Tim Mullin (Spencer Tracy), qu
Autant en emporte le vent, de Victor Fleming (1939) : l'apogée d'Hollywood

Autant en emporte le vent, de Victor Fleming (1939) : l'apogée d'Hollywood

Film de tous les superlatifs - un tournage dispendieux, des millions de spectateurs, une marée d'oscars -, Autant en emporte le vent fut et reste l'indépassable modèle de ce que la cité des anges savait faire de mieux, l'exact synonyme du mot cinéma, le symbole de l'industrie hollywoodienne. Quatre-vingts ans après, il reste un modèle de sav
Le Droit d'aimer, de Sam Wood (1922) : duo d'amour entre Swanson et Valentino

Le Droit d'aimer, de Sam Wood (1922) : duo d'amour entre Swanson et Valentino

Un rescapé, ce Droit d'aimer : considéré comme perdu durant des décennies, au point que Gloria Swanson ne put jamais le revoir, une copie du film fut miraculeusement découverte aux Pays-Bas, en 2002. Soit 80 ans après sa sortie. Restauré et disponible sur Youtube, le Droit d'aimer est l'occasion de voir l'unique film réunissant Miss Swanson
Rosita, d'Ernst Lubitsch (1923) : le tandem Pickford-Lubitsch fonctionne à merveille

Rosita, d'Ernst Lubitsch (1923) : le tandem Pickford-Lubitsch fonctionne à merveille

Quelle joie pour moi de pouvoir, enfin, voir un film avec Mary Pickford ! Et c'est à Arte et à sa rubrique Cinéma muet que je le dois. Merci, Arte! En Espagne, pendant le carnaval de Séville. Le pays est dirigé par un roi ne pensant qu'à lutiner les jolies filles. Ayant eu vent d'une chanteuse des rues qui le brocarde dans ses chansons, il se
Zaza, d'Allan Dwan (1923) : un écrin coquin pour Gloria

Zaza, d'Allan Dwan (1923) : un écrin coquin pour Gloria

Jolie découverte, par hasard, sur Youtube : alors que je cherchais un film avec Pauline Fredericks, le moteur de recherche a sorti comme occurrence Zaza , avec Gloria Swanson. Rien à voir, d'autant plus que je croyais ce film perdu... Ni une, ni deux, je regarde ce muet qui fut un des plus grand triomphes de miss Swanson. Et c'était bien. Explic