Atelier des Baratines du jeudi 04 février 2016 Lettre ouverte à celles qui sont parties à la fin du repas sans participer aux travaux d'intérêt général ( T.I.G.) prévus par Christine l'après-midi. Moi aussi j'ai ma grand-mère qui est bien malade, moi aussi je savais pas, moi aussi je voudrais bien mais je peux point ! Non mais ! Bande de

je retrouve avec émotion ces traces d'un groupe d'écriture ancien que j'avais fréquenté autrefois. Que sont mes ami'e)s devenu(e)s ?

D’abord effacer les valises du passé Et ne pas oublier de les cadenasser Avoir la foi en l’avenir même lointain Laisser les limites anciennes derrière soi Oublier les empêcheurs de tourner rond Et les mots qui tuent Un court instant faire parler ce qui est tu Rire comme l’enfant qu’on a été Ecouter une chanson aimée comme on déguste

Je venais juste d’avoir dix-neuf ans. Et j’avais été élue miss Saint Malo. Cela n’avait pas été facile. Je ne parle pas du concours mais avec mon père. Quand il a su ça, j’ai cru qu’il allait rester tout rouge et tout congestionné pour le restant de ses jours. Ma mère lui a tapé dans le dos et il a repris son souffle. Mais penda

Une invitation, une visite : 3 éléments ce qui se passe, le lieu, le ou les personnages. A partir d'un texte de Giono. + caviardage à partir d'un poème.

Il en va des baisers comme des coussins, Certains sont moelleux, profonds, confortables. On s'y plonge, on s'y enfonce, on s'y perd, on s'y oublie. D'autres sont rêches, vieux tissu, dossier raide, compliqués, anatomiques et même parfois orthopédiques. Enfin, il en est des sucrés, colorés rose fluo, gonflés à l'hélium, plastifiés et gliss

VOYAGE INTERIEUR D’ABORD EFFACER LE TABLEAU DU SAVOIR ET NE PAS OUBLIER DE FERMER LA PORTE DU CONNU AVOIR LA FOI DU CHARBONNIER LAISSER FILER DERRIERE SOI LE PASSE INSOLENT OUBLIER LES CONSIGNES ET LES MOTS INTELLIGENTS UN COURT INSTANT FAIRE PARLER LE COEUR LIBRE RIRE COMME LA PLUIE ECOUTER MONTER LA JOIE DECELER LE SECRET DE LA VIE DU DEDANS N

« Ce matin écrivez quelque chose sur un arbre ». Voilà vous avez trente minutes pour écrire une histoire d’arbre. Quand je pense au temps qu’il faut pour que pousse un arbre ! Je trouve que trente minutes ce n’est vraiment pas beaucoup. Pas assez même. Et puis des histoires d’arbres j’en ai trop. J’ai beaucoup d’amis parmi les a

A partir du poème d’Apollinaire…Jolie chanson plagiat Il y a Mon âme, légère, posée sur l’oreille Cette respiration à mes côtés, Encore, l’odeur du cassoulet qui rôde, s’insinue Le tonnerre qui, rudement, gronde, là-bas au loin, Cette marche qui grince, au chat trotteur ; La verte pointe des jacinthes au jardin, et Dans le sous-

Le bal est fini ! Silence… Le regard est arrêté par le rideau du temps qui cache la foule. Les souvenirs seuls peuvent traverser avant qu’ils ne se perdent dans l’espace de l’oubli. Le bal est fini. Le bal est fini. Les parfums mélangés s’éventent. Un tout petit papier plié, perdu, cache une adresse qui va être balayée avec l’es