Pas encore inscrit ? Creez un Canalblog!

Créer mon blog
ptitesphrases

ptitesphrases

Ses blogs

P'tites phrases.

Une p'tite phrase ( poétique, étrange, stupide, surréaliste, idiote, drôle, bizarre... ) chaque jour, entendue au hasard.
ptitesphrases ptitesphrases
Articles : 105
Depuis : 28/12/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Léah Touitou - Ecriture

La pluie !
ptitesphrases ptitesphrases
Articles : 206
Depuis : 26/09/2010
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

P'tites phrases de la saint-valentin d'avril, figure-toi.

Ouais, ouais, ouais. d’accord, c’est avril, d’accord, je viens écrire presque-jamais. mais à côté, juré, je fais un tas de choses très prenantes, comme chercher deux chaussettes de la même couleur, faire et défaire mon sac un tas de fois, prendre le train, puis finalement plutôt prendre le bus, parce que c’est encore la grève. qua
Bien sûr.

Bien sûr.

Bien sûr, j'écris tout le temps dans ma tête, j'écris comme je respire, sur toutes les pages de toutes les heures. mais dakar vivant vibrant violent partout, mais le projet caravane fou, exigeant, fatiguant. heureuse, heureuse, heureuse. y a quoi d'autre que ça ? du beurre de karité et les pirogues de saint louis. du bissap, du pain de singe,

Fais ce qu'il te plait, tu m'étonnes, c'est encore la saint-valentin.

On n’arrête pas le progrès. j’ai retrouvé une page de libé de la saint-valentin, perdue dans mes placards de ouagadougou, toute pliée-raturée. une fournée de p’tites phrases en plus, en direct de kpalimé ! (si ça, c’est pas la classe). « mon pot de glue » « toi qui fais grandir les arbres… » « mille love-baisers » « attach

Lomé

Des fois, t'es là, tu regardes tout. la mer qui danse, les palmiers à l'encre, le ciel gris tendre. la lumière le matin. tu fermes les yeux. les trois notes très aigues d'un oiseau d'ailleurs. les voix des gens, les bruits, le sel dans l'air. tu respires plein d'oxygène, et le monde est vaste. tu regardes tes mains, tu souris tout doucement.

Hommage - ghislaine dupont, claude verlon.

Vous êtes morts, je ne vous connais pas et j’ai de la peine. je regarde des photos de vous, je lis vos prénoms et ce qu’on dit de vous, ici, ailleurs. on dit que vous étiez déjà allés à kidal, avant, on dit que vous étiez des passionnés de l’afrique, et j’ai de la peine encore. je sais comme on est heureux quand on revient dans un