Nous étions un peu stoppés dans notre élan gravillonnesque par un sac d'un mètre cube de terre qui bloquait le chemin derrière le cabanon. grâce à deux amis venus en renfort avec pelles et brouettes, le sac a été vidé et déversé dans une future plate-bande que nous aménagerons à l'automne. le passage étant libre, jean a prolongé le