On va commencer par les livres dont je ne parlerai pas sur le blog en détail, faute de temps et parce que chacun à leur manière ne m’ont pas accrochée : - le presbytère d’ariane monnier : je l’ai lu jusqu’au bout en apnée, sans doute avec un air dégoûté sur le visage. c’est un récit glauque à souhait, une histoire d’enfants r

Quatrième de couverture: "experte en amour, pâtisseries et chansons de troubadour, tiphanie dite belle d’amour a été l’une des suivantes de saint louis et a participé, en première ligne, aux deux dernières croisades en orient. mais sa vie, qui aurait pu être un conte de fées, tourne souvent au cauchemar. jetée très jeune sur les chem

Quatrième de couverture: " l’algérie dont est originaire sa famille n’a longtemps été pour naïma qu’une toile de fond sans grand intérêt. pourtant, dans une société française traversée par les questions identitaires, tout semble vouloir la renvoyer à ses origines. mais quel lien pourrait-elle avoir avec une histoire familiale qui

Quatrième de couverture: "août 1992. une vallée perdue quelque part dans l’est, des hauts-fourneaux qui ne brûlent plus, un lac, un après-midi de canicule. anthony a quatorze ans, et avec son cousin, pour tuer l’ennui, il décide de voler un canoë et d’aller voir ce qui se passe de l’autre côté, sur la fameuse plage des culs-nus. au

Quatrième de couverture: "un souffle parcourt les prairies du far-west, aux abords d’une ville naissante vers laquelle toutes les pistes convergent. c’ est celui d’eau-qui-court-sur-la plaine, une indienne dont tout le clan a été décimé. elle va rencontrer les frères brad et jeff, traversant les grands espaces avec leur vieille mère mo

Quatrième de couverture: "j'avais huit ans quand j'ai su que je ne finirais pas mes jours ici. qu'ici je ne deviendrais personne. qu'ici je n'aimerais personne. qu'ici, rien. je ne ressentirais rien. j'avais huit ans et j'ai décidé de partir un jour. j'ai choisi de ressentir. j'ai choisi de souffrir. à partir de là, je suis condamnée à cette

Soyons honnête je n'ai pas réussi à écrire un seul billet depuis plus d'un mois, je manque de temps, oui, mais le temps on le trouve quand les choses nous tiennent à coeur... il semblerait que l'envie soit un peu partie... je ne ferme pas définitivement la porte mais je laisse pour l'instant mon blog en suspens... j'essaierai néanmoins d'êt

Quatrième de couverture: "vendredi 13 novembre 2015. l'air est encore doux pour un soir d'hiver. tandis que les bleus électrisent le stade de france, aux terrasses des brasseries parisiennes on trinque aux retrouvailles et aux rencontres heureuses. une ceinture d'explosifs autour de la taille, khalil attend de passer à l'acte. il fait partie du

Quatrième de couverture: "elle se fait appeler joe. elle aimerait vivre au xviiie siècle car elle a l’âme romantique et le goût pour les drames. elle vit dans un quartier peuplé de gens cabossés par la vie. le plus étrange est son nouveau voisin, m. roger, un vieil homme aux dons chamaniques qui passe son temps à jurer comme un charretier

Quatrième de couverture: « alors quoi ? on oublie tout ça ? les italiens ? les polonais ? lés arméniens ? les 600000 tirailleurs sénégalais ? c’est tout le pays qu’a alzheimer, ou quoi ? on est 500 millions en europe et on veut nous faire croire qu’on peut pas accueillir 1 million de pauvres gens ? ça fait même pas un par village !