Je suis lente en amour. Et encore plus en desamour. Je passe beaucoup de temps à observer. Je suis souvent subjuguée. Par un rien qui devient tout. Par ses yeux rieurs qui se plissent. Par ses rides saillantes, juste au coin des yeux. Par une phrase. Par une lumière qui devient douce. Je suis lente en amour. Je réclame de la douceur. je me lais
CarolineMF
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01/05/2013
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Lifestyle
Articles à découvrir
Je n'aime pas penser qu'il me lit. Je n'aime pas penser que nous avons un espace commun, un endroit pour moi précieux dans lequel il impose sa présence de petit gnome maléfique, prêt à se saisir de mes faiblesses, à me moquer, en se peignant d´or. Je n´aime pas le savoir, je n'aime pas le connaître.
"C'est très simple. Quand on commence à agir contre son intérêt. " L'Amour en Fuite. Lorsque je la retrouverai vendredi, est-ce de cela dont je parlerai? De l'influence de la Nouvelle Vague sur mes amours, sur mes émotions? Ou, plus prosaiquement, plus justement, me contenterai-je d'une description chirurgicale de ce qu'aimer veut dire? Ou enc
J'aime les phonémès de ce verbe à la douce prononciation. J'aime la contradiction qui surgit entre la douceur du mot dans la bouche et la tristesse qu'il induit dans sa signification. Faner est un verbe plein d'évocations mélancoliques, il dit le temps qui passe, le temps révolu de la splendeur, de la chatoyance. Il appelle la mémoire, le so
Je regarde le monde qui m'entoure avec poésie. J'observe ma fille grandir avec contemplation. Souvent je m'interroge sur le sens de mon existence, son intérêt, sa vacuité. Et puis, parfois, par la grâce de l'art, tout prend forme, tout fait sens, tout s'assemble avec la légéreté des évidences. Hier, j'ai regardé le Gamin au Vélo des frè
Psychanalitiquement, j'y entrevois fesser.... Je n'écris plus, je ne parle plus, je concentre mon énergie sur l'essentiel. Continuer à travailler, continuer d'être mère, tenter de renouer avec la lecture. Je voudrais cesser cette histoire. Je voudrais décrêter de sa fin. Je voudrais être mon propre dictateur. Je voudrais gouverner mes émot
Je déteste les séparations. Comme tout le monde je suppose. Je n'y arrive pas. J'altermoie. Je pars, je reviens, je pars à nouveau, et je recommence encore. Au final, j'entame la beauté de ce qui fut, mais j'imagine que c'est nécessaire, cette destruction. Je l'ai revu. Je sais que notre histoire est finie. Je le savais avant de le revoir. J'a
.... Qu'il faut arrêter les séries américaines ! Ça rend con...
C'est ce que je donne à être. Non pas au sens sexuel du terme. Au sens d'être pensée sans être vécue. C'est le dénominateur commun de l'ensemble de mes relations amoureuses. Les hommes me pensent, me disent, me rêvent, mais ils ne vont pas plus loin. J'en déduis que je les tiens à distance, que je me complais dans cet état de rêverie, q
6.00 : première sonnerie de mon i-phone. J'ai dormi 9h00 et j'ai l'impression d'avoir fzit une nuit blanche. C'est mal barré. 6h01 : pas de sms du connard. J'appuie sur répéter. 6h02 : je m'énerve 30 s'. Je me rendors. 6h08: ça resonne. J'ai dormi avec mon cachemire Zadig et Voltaire. J'ai trop chaud. Je suis claquée. 6h15: je sais plus où