Lundi vingt-deux octobre, jean-noëlle arrivent à phnom penh à quatre heures trente du matin. la première épreuve consiste à fuir les chauffeurs de tuk-tuk qui nous harcèlent. nous traversons la ville à pied, nos vingt kilogrammes sur le dos, jusqu'aux bureaux d'une compagnie de bus qui sont bien entendu fermés. en attendant, nous filons au