"un soir je l'ai emmené faire un tour. j'ai pris mon équipement et on est allés dans un terrain vague. le niko, il balisait. il tremblait comme une feuille. putain, vous auriez dû le voir. pire qu'un gamin qui entre dans un bordel pour la première fois. j'ai fait deux trois tags et je lui ai passé le relais. malgré le stress, il s'est lâch
aifelle1
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Et bien voilà, ma pause a duré le temps nécessaire et je me sens prête à repartir, doucement et à mon rythme. mais pas ici. fini la pub et les bugs (du moins je l'espère), je déménage. voici ma nouvelle adresse, à mettre dans vos agrégateurs de flux. a très bientôt. http://legoutdeslivres.hautetfort.com giverny - novembre 2021
Je mets mon blog en pause pour différentes raisons dont la première est une baisse certaine de motivation. de plus, canalblog est une plateforme de moins en moins fiable, les bugs sont récurrents, surtout le week-end, la publicité envahi exagérément l'espace, trop agressive pour la lecture des visiteurs, ce n'est plus possible de continuer av
Piers faccini photo : julien mignot
"c'est une ville qui ressemble à toutes les autres, en france. avec ses habitants qui marchent en titubant sur les trottoirs ; ses fumeurs qui crachent leurs tripes ; ses hommes qui partent au travail tôt le matin, sans que les passants se doutent de ce qu'ils ont fait de leurs mains la nuit passée, de ce qu'ils ont fait de leur sexe cette même
"a la nouvelle-orléans, stella se divisa en deux. elle ne le remarqua pas tout de suite, parce qu'elle avait été double toute sa vie : elle était elle-même et elle était desiree. belles et rares, on ne les appelait jamais les filles, uniquement les jumelles, comme si c'était un titre officiel. elle s'était toujours définie ainsi mais, à l
"papa nous avait dit un jour que les batailles n'ont en réalité lieu qu'entre deux personnes, et à un moment bien précis. qu'il a beau y avoir des armées, des gouvernements et des idéologies, au bout du compte, ça se joue entre deux adversaires, celui qui va tuer, et celui qui va être tué. tous les autres, avec ou contre vous, ont disparu.
Sona jobarteh et ballaké cissoko photo : julien borel