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Le bar à poèmes
Vous prendrez bien encore un vers !
Anthologie de poésie, personnelle (néanmoins ouverte à tous), établie par Bernard Plouzennec
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Femmes en Poésie
Poèmes de tous pays, écrits par des femmes. Textes rassemblés par Bernard Plouzennec
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Articles à découvrir
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Seizaine ................................................................. 5. un cercle d’âmes où que tu ailles chevalier à triste figure, triste sire, hâve frère des sœurs gréées malheureux qui ici passe, seule ton ombre fugitive, bientôt s’efface et paraît un cercle d’âmes où que tu ailles, vaille que vaille va et te suis. les c
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Le miroir tu aurais un visage ? un corps de chair comme j’en ai ? le sang qui monte dans les veines, qui descend. le sang qui va dans les veines. si tu avais la même figure ? la peau tendre que le froid travaille, et le grand fardeau des peines. deux pieds qui vont d’un champ à l’autre champ. si tu avais cette bouche et mes dents, bien aigu
Adam et eve, par lucas cranach l'ancien conversation entre adam et eve je n’ai pas de sablier pour dire le temps car le sable est encore loin, et le temps est encore loin. je n’ai pas de souvenirs à faire cacher en contre-bande. rien à cacher sous les feuilles de figuier du paradis, pas de sacs ni de paquets, ni plume ni laine. eteins le sole
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© gezett.de meubles quitter toute sécurité, le phrases utilisées, taire le dit jusqu’à ce qu’il aille jusqu’à ce qu’il aille aux choses , qui se dressent immobiles dans la pièce : la table les deux chaises le lit. sortir, fermer la porte, laisser les choses pour elles, pour toi. tout ainsi se transforme, et vient le temps : nous nous
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Zoé karèlli / ζωής καρέλλης (1901 – 1998) : le murmure d’eurydice / ευρυδίκης ψίθυρος
Le murmure d’eurydice ne crois pas..., viens avec moi. n’insiste pas nous avons tellement cru au corps entendu sa musique passionnée, mais je ne crois pas au plaisir. la douleur est trop puissante et l’efface. le corps souffre quand il meurt et qu’il lui échoit de perdre sa gloire entière. laisse-le. le laisser, n’est-ce pas mieux ? ne
Jacopo sannazaro (1456 – 1530) : « icare chut ici... » / « icaro cadde qui... »
Icare chut ici : ces flots le savent bien qui pourront recevoir ses ailes audacieuses ; ici l’essor prit fin, ici la chute eut lieu dont seront envieux les hommes du futur. echec assurément heureux et agréable, dès lors que par sa mort il eut la gloire éternelle. bienheureux celui-là dont la fatale issue compense le dommage et lui donne l’
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La collection de l’imec ne pas mourir je voudrais me glisser sans un soupir hors de ce monde, et sans un cri, pouvoir sourire et transparaître enfin de cette immense joie, ne laisser après moi pas un regret, aucun chagrin, mais un amour vraiment avancé dans la confidence et déjà qui sûrement la partage. je voudrais ne laisser au moment d’
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Kari unksova / кари васильевна унксова (1941 – 1983) : « le ciel qui se lave... »
Le ciel qui se lave et scintille d’un rêve de ciel la voûte qui s’ouvre le bleu tout timide un œil rond le bois de bouleau se blanchit de sa peau de mortel ce rire – à côté – des fracas rougeoyants bûcherons la source s’épuise à chercher le début de son chant la mort charbonneuse – à côté – se cachant nous hachant le trem
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Saphô / σαπφώ (vers 630 – vers 580 av. j. c.) : « notre anactoria, attys, s’en est allée... ».
Mort de sappho de miguel carbonell selva notre anactoria, attys, s’en est allée. gardant de vos beaux jours l’image inconsolée, elle qu’émerveillait la douceur de ta voix, qui fit de toi son mile et sa pure ambroisie, elle habite aujourd’hui dans la lointaine asie comme la lune au ciel, calme, suivant sa voie, changeant la sombre mer en
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Esperanza lópez parada (1962 -) : « nous avons changé le nom ... »
Nous avons changé le nom de cette ville afin que toi, l’illustre défunt, tu ne puisses la trouver dans la nuit. nous avons peint autrement les murs, le lit que nous occupons, de peur que toi, si pâle maintenant, tu ne t’installes et ne nous effraies avec ton amour pressant qui perce le brouillard.. traduit de l’espagnol par claude de frays